a. Une large diffusion qui permet d’atteindre un large public.
La diffusion des chansons constitue l’un des moyens les plus efficaces dès lors qu’il s’agit de rallier à la cause défendue de larges publics initialement indifférents. Ce pouvoir s’est considérablement développé dans la seconde moitié du 20ème siècle du fait du développement d’une industrie musicale de masse.
Et si les leaders politiques les plus puissants sont diffusés à travers le monde, ce n’est rien en comparaison de l’auditoire ouvert à la chanson. À l’aide du disque, du DVD, d’Internet, de la radio, etc. … des milliers de chansons sont diffusées sur tous les continents, et la chanson est donc utilisée comme vecteur de messages, non plus parce qu’elle est moins surveillée, mais parce qu’elle s’adresse à un auditoire énorme.
Écouter de la musique est ressentie comme quelque chose de fondamental par toute l’humanité, voire comme une nécessité sans laquelle certains mélomanes passionnés ne pourraient vivre.
Un sondage récent sur la musique de la SOFRES , nous informe que 74 % des français sont sensibles à la musique , qu’ils placent bien avant la littérature ( 56 %), le cinéma ( 48 % ), la peinture ( 11 % ), la danse ( 11 % ), le théâtre ( 11 % ), et enfin la sculpture ( 4 % ). Les français écoutent de la musique en moyenne deux heures par jour, et 28 % d’entre eux souvent plus longtemps.
Peut-on vivre sans musique ? Des statistiques scientifiques tendraient à prouver que seulement 4 à 5 % de la population serait « amusicale », c’est-à-dire dépourvue de goût ou d’aptitude musicale, l’ensemble des humains étant doté d’un « cerveau musical » plus complet.
En effet, le goût de la musique se retrouve dans toutes les catégories sociales et culturelles, et dans toutes les tranches d’âge.
Cependant le besoin de musique est nettement plus puissant chez les jeunes, ce qui est facilement explicable si l’on retient l’explication « biologique » de la musique qui la relie à la vitalité et à l’amour : La SOFRES nous apprend que 30 % des ados (34 % des filles et 25 % des garçons) déclarent que la musique est vitale pour eux, au même titre que boire et respirer, alors que ce pourcentage tombe verticalement à 7 % chez les personnes plus âgées.
Les amateurs de la musique les plus pointus écoutent la musique sur une chaîne stéréo haute fidélité ( 66 % ), en concert ( 28 % ), sur DVD ( 15 % ), des supports MP3 ( 8% ) ou sur Internet (4%). Leur choix est sélectif, contrairement à ceux qui écoutent la musique à la radio ( 61% ) ou à la télévision ( 27% ), avec une approche simplement réceptive.
Selon l’institut de sondage, 33% des personnes interrogées sont allées à un concert au moins une fois au cours de l’année écoulée. Le pic de fréquentation des concerts se situait à 30 ans, pour décroître régulièrement par la suite.
Un nombre croissant de personnes fait donc appel aujourd’hui aux nouvelles technologies, numériques ou autres pour écouter la musique. Le CD est dépassé, l’écoute stéréo va bientôt laisser place une nouvelle technologie 3D qui propose un saisissant relief sonore.
Le sondage sur la musique fait ressortir que cet art s’adresse à tous, qu’il est très largement apprécié ou même pratiqué par le public. L’impact de toute musique est à son apogée dans la jeunesse et que la musique numérique conquiert un public de plus en plus large ; enfin que la tendance à l’intellectualisation de la musique prédomine dans les milieux favorisés et qu’elle a tendance à s’accroître à mesure qu’avance l’âge.
La diffusion des chansons constitue l’un des moyens les plus efficaces dès lors qu’il s’agit de rallier à la cause défendue de larges publics initialement indifférents. Ce pouvoir s’est considérablement développé dans la seconde moitié du 20ème siècle du fait du développement d’une industrie musicale de masse.
Et si les leaders politiques les plus puissants sont diffusés à travers le monde, ce n’est rien en comparaison de l’auditoire ouvert à la chanson. À l’aide du disque, du DVD, d’Internet, de la radio, etc. … des milliers de chansons sont diffusées sur tous les continents, et la chanson est donc utilisée comme vecteur de messages, non plus parce qu’elle est moins surveillée, mais parce qu’elle s’adresse à un auditoire énorme.
Écouter de la musique est ressentie comme quelque chose de fondamental par toute l’humanité, voire comme une nécessité sans laquelle certains mélomanes passionnés ne pourraient vivre.
Un sondage récent sur la musique de la SOFRES , nous informe que 74 % des français sont sensibles à la musique , qu’ils placent bien avant la littérature ( 56 %), le cinéma ( 48 % ), la peinture ( 11 % ), la danse ( 11 % ), le théâtre ( 11 % ), et enfin la sculpture ( 4 % ). Les français écoutent de la musique en moyenne deux heures par jour, et 28 % d’entre eux souvent plus longtemps.
Peut-on vivre sans musique ? Des statistiques scientifiques tendraient à prouver que seulement 4 à 5 % de la population serait « amusicale », c’est-à-dire dépourvue de goût ou d’aptitude musicale, l’ensemble des humains étant doté d’un « cerveau musical » plus complet.
En effet, le goût de la musique se retrouve dans toutes les catégories sociales et culturelles, et dans toutes les tranches d’âge.
Cependant le besoin de musique est nettement plus puissant chez les jeunes, ce qui est facilement explicable si l’on retient l’explication « biologique » de la musique qui la relie à la vitalité et à l’amour : La SOFRES nous apprend que 30 % des ados (34 % des filles et 25 % des garçons) déclarent que la musique est vitale pour eux, au même titre que boire et respirer, alors que ce pourcentage tombe verticalement à 7 % chez les personnes plus âgées.
Les amateurs de la musique les plus pointus écoutent la musique sur une chaîne stéréo haute fidélité ( 66 % ), en concert ( 28 % ), sur DVD ( 15 % ), des supports MP3 ( 8% ) ou sur Internet (4%). Leur choix est sélectif, contrairement à ceux qui écoutent la musique à la radio ( 61% ) ou à la télévision ( 27% ), avec une approche simplement réceptive.
Selon l’institut de sondage, 33% des personnes interrogées sont allées à un concert au moins une fois au cours de l’année écoulée. Le pic de fréquentation des concerts se situait à 30 ans, pour décroître régulièrement par la suite.
Un nombre croissant de personnes fait donc appel aujourd’hui aux nouvelles technologies, numériques ou autres pour écouter la musique. Le CD est dépassé, l’écoute stéréo va bientôt laisser place une nouvelle technologie 3D qui propose un saisissant relief sonore.
Le sondage sur la musique fait ressortir que cet art s’adresse à tous, qu’il est très largement apprécié ou même pratiqué par le public. L’impact de toute musique est à son apogée dans la jeunesse et que la musique numérique conquiert un public de plus en plus large ; enfin que la tendance à l’intellectualisation de la musique prédomine dans les milieux favorisés et qu’elle a tendance à s’accroître à mesure qu’avance l’âge.